Yogi Tea Infusion "Bonheur" Bio, 30,60 g

Exaltant, inspirant, harmonieux.

De temps à autre, nous perdons le contact avec notre âme. Le YOGI TEA® Bonheur élève les esprits et nous rappelle la sérénité qui est au cœur de notre être intérieur. Combinant le basilic et le houblon avec le fenouil, la cannelle et le fenugrec, cette infusion douce a la saveur d’une joyeuse journée d’été qui nous fait prendre conscience du soleil caché derrière les nuages. Le message subtil de cette infusion est : « Tout ira bien ».

Préparation : Verser 250 ml d'eau bouillante sur le sachet et laisser infuser 5 à 6 minutes, ou plus longtemps pour un goût plus fort.

En apprendre plus sur les herbes et épices :

- La cannelle faisait partie des épices les plus chères au monde et semblerait déjà avoir été utilisée en Chine comme épice et comme remède médicinal 3 000 ans av. J.C. La cannelle provient de l’écorce du cannelier d’Asie du Sud, son goût est aromatiquement sucré et elle contient, outre des tanins, une huile essentielle précieuse.

- En 2007, l’humulus lupulus ou houblon grimpant a été élu « plante médicinale de l’année » par les scientifiques. Les épis de la plante femelle constituent une source importante d’huile essentielle, de protéines et de minéraux. Le houblon a un goût légèrement amer et délicatement épicé.

- Le fenouil est une des plus anciennes plantes médicinales connues au monde. Il fait partie de la famille des ombellifères et est prisé depuis des millénaires dans le monde entier pour son arôme intense. Le fenouil a une saveur épicée sucrée qui rappelle quelque peu l’anis.

- Le basilic ou la « plante médicinale royale » comme l’appelèrent les Grecs anciens arriva en Europe du Nord au 12e siècle. Son arôme délicieusement épicé est sublimement mis en valeur dans la cuisine méditerranéenne, mais aussi dans les infusions fraîchement préparées.

- Le fenugrec très aromatique pousse au Maroc, en Inde, en Chine, en Afrique, en Australie et même en Allemagne. Également appelé trigonelle, le fenugrec pousse en plein champ, sur les sols riches en calcaire. Déjà dans l’année 795, la culture obligatoire du fenugrec fut intégrée au capitulaire De Villis de Charlemagne. Le prophète Mahomet aurait même dit : « Si mes compagnons connaissaient la puissance curative du fenugrec, ils l'achèteraient et il vaudrait son prix en or. »